BREVES EN FOLIE : LE SEUL BLOG OU LE FOND PRIME SUR LA FORME

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ET TA SOEUR ?

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  ET TA SOEUR ?

 

 L'ESCROQUERIE SOEUR TERESA !

 

http://www.lesenrages.antifa-net.fr/mere-teresa-tout-sauf-une-sainte/

 

 

 

Mère TERESA, religieuse catholique est surtout connue dans le landernau de la FOI pour avoir soi-disant consacré toute sa vie au service des pauvres, des malades et des déshérités. En 1979, elle a d'ailleurs reçu le prix Nobel de la paix pour son "oeuvre". En 2003, 6 ans après sa mort, cerise sur le gâteau, elle a été béatifiée. 

Cependant, pendant toute la durée de son "TRIP dans la BIENFAISANCE" Mère TERESA a du faire face à beaucoup de critiques et de condamnations. Le magazine allemand STERN qu'on ne peut soupçonner d'être un canard à PEOPLE comme CLOSER a publié un rapport qui souligne qu'en 1991, seulement 7% du total des dons reçus par la Mission de la Miséricorde, ont été consacrés à la charité.

 

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TAIS TOI ET MANGE TA SOUPE !

 

 

Mère TERESA était coincée par une rigidité dogmatique, elle estimait que le SORT des malades, de leur souffrance et de leur devenir à la suite des catastrophes naturelles qu'a connues l'Inde et qui ont fait plusieurs centaines de milliers de victimes, était UNIQUEMENT du RESSORT DE LA PRIÈRE Après quelques prières, les pauvres selon elle devaient péter le feu et courir comme des lapins !

C'est ainsi qu'elle a encouragé vivement le bon peuple à prier pour les victimes, mais n'a jamais donné la moindre roupie fut-elle de sansonnet  pour les aider alors que l'argent affluait du monde entier.

Les locaux de MERCY MISSION déprimants et insalubres ont été vivement critiqués, on n'y faisait pas la distinction entre les personnes curables et incurables de sorte que celles qui auraient pu survivre, risquaient de mourir d'infections et d'absence de traitement. 

Mère TERESA qui était très drôle avait baptisé les installations dont elle s'occupait : "MAISON POUR LES MOURANTS"  !

Laissant les MOURANTS MOURIR, abandonnés dans leurs cages à poules de fortune, elle n'a pas oublier de solliciter une aide médicale qualifiée pour ELLE MÊME et son STAFF auprès de cliniques renommées aux Etats-Unis, en Europe et en Inde, elle fut accusée à juste titre d'hypocrisie et vivement critiquée.

Faisant fi de tout ça, le pape François qui doit justifier son statut de "GRAND CHEF BLANC" a signé mardi matin 15 mars le décret de canonisation de mère TERESA, "figure mondiale de la charité", icône païenne du CHARITY BUSINESS qui deviendra sainte dès le 4 septembre, Ce dernier feu vert est intervenu lors d'un CONSISTOIRE chargé d'examiner la cause de la religieuse au sari blanc bordé de bleu, décédée en 1997 et déjà béatifié en 2003 devant 300 000 NEUNEUS massés sur la place Saint-Pierre.

 

Née en 1910 dans une famille Albanaise en Macédoine, mère TERESA de son vrai nom Gonxhe Agnes Bojaxhiu, est entrée dans les ordres à l'âge de 18 ans et a été envoyée enseigner en Inde. Elle a ensuite fondé en 1950 sa propre congrégation, les Missionnaires de la charité, qui compte aujourd'hui

4 500 religieuses consacrant leur vie de manière radicale "AUX PLUS PAUVRES D'ENTRE LES PAUVRES". Pour mémoire, Mère TERESA a été nommée prix Nobel de la paix en 1979.

 

LES PROMOTIONS DU VATICAN. 

TARIF : Un miracle pour une béatification, deux pour une canonisation

 

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COMMENT ÇA ?  C'EST DÉGUEULASSE ! !

 

 

Sa canonisation équivaut à une reconnaissance officielle par l'Eglise catholique du fait que la récipiendaire est au paradis et doit pour cela être à l'origine de deux miracles, l'un pour la béatification, l'autre pour la canonisation, signes de sa proximité avec Dieu.

Le service de presse du Vatican n'a cependant pas confirmé le lieu de la célébration. L'Eglise catholique Indienne a vivement insisté pour que le souverain pontife Argentin vienne à Calcutta pour cette célébration, mais plusieurs sources au Vatican ont assuré ces derniers jours qu'un tel voyage n'était pas à l'ordre du jour et que la canonisation aurait lieu à Rome . . . MON DIEU QUE D'ÉMOTION EN PERSPECTIVE ! ! 

 

 

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COPIÉ/COLLÉ JOURNAL LIBÉRATION

 

Disparue en 1997, Mère TERESA continue cependant à faire parler d’elle. Un second miracle reconnu par le Vatican va donc conduire le pape FRANCOIS à la canoniser. La nouvelle de cette canonisation ramène à la surface des critiques qui brouillent l’image d’intouchable qui lui est attribuée.

Ça fait des mois que la rumeur courait, la voici enfin confirmée : Mère TERESA va devenir une “SAINTE”.

Déjà béatifiée par le pape Jean-Paul II en 2003, il ne lui manquait que l’accomplissement d’un second miracle afin d’être canonisée. Et ce miracle est arrivé ! QUE D'ÉMOTION !  L’archevêque de Calcutta Thomas DE SOUZA a annoncé qu’un Brésilien de 35 ans, atteint de multiples tumeurs au cerveau en 2008, avait été guéri grâce à Mère TERESA ! ! !   ETONNANT NON ?

Selon le quotidien italien AVVENIRE, la femme du malade avait prié pour que la “PETITE SOEUR DES PAUVRES” vienne en aide à son mari.

D’après le site Vatican Insider, ce dernier se serait subitement réveillé, apparemment guéri du coma dans lequel il était tombé lors de son opération, et aurait demandé au chirurgien qui l’avait pris en charge : “ QU'EST-CE QUE JE FAIS ICI ? "

 

Le pape François reconnaît aujourd’hui ce miracle. Le Vatican a alors confirmé le processus de canonisation de la religieuse en 2016 : "Le Saint Père a autorisé la Congrégation pour les saints à promulguer les décrets concernant le miracle attribué à l’intercession de la bienheureuse Teresa de Calcutta"

Avvenire ajoute qu’une réunion d’experts, convoquée par la congrégation pour la cause des saints, a reconnu la guérison : OUF ! !

 

Une béatification controversée

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SOEUR TERESA ET LE RHUME DES FOINS

 

 

L’annonce de la canonisation de Mère TERESA réactive cependant les souvenirs ambigus de sa béatification.

Un an après sa mort en 1997, une jeune Bangladaise atteinte d’un cancer, Monica BESRA, se rend dans un centre des Missionnaires de la charité, l’organisation fondée par Mère TERESA. Elle raconte à Libération qu’elle aimmédiatement été frappée par un rayon de lumière qui émanait du portrait de Mère TERESA. Elle s'est couchée quelques heures plus tard, une médaille bénie par la “SOEUR DES PAUVRES” posée sur son ventre et s'est réveillée complètement guérie ! !

Mère Teresa était revenue pour me soigner”.

C’est ce témoignage, retenu par le Vatican, qui a permis à la religieuse d’être béatifiée. Un témoignage douteux, contesté par les médecins de la jeune Bangladaise, comme le gynécologue bien connu Ranjan Mustafi : “J’ai examiné Monica Besra en mai 1998 à l’hôpital de Balurghat et j’ai diagnostiqué une méningite tuberculeuse. Elle a ensuite suivi un traitement antituberculeux pendant neuf mois, d’où sa guérison. C’était un problème médical qui a été soigné par la science, rien de plus.”

 

Ce miracle a pourtant été approuvé par le Vatican et Jean-Paul II qui n’a d’ailleurs pas respecté le délai obligatoire de cinq ans avant d’entamer le processus de béatification qu’il a activé dès l’annonce du miracle en 1998, un an seulement après la mort de la religieuse.

Christopher HITCHENS, écrit en 2003 (depuis re-publié) dans SLATE que “d’habitude, une procédure d’enquête se met en route et comporte notamment l’examen d’un advocatus diaboli, “l’avocat du diable”, histoire de vérifier la crédibilité des affirmations extraordinaires. Jean-Paul II a supprimé ce cabinet et à lui tout seul, "créé davantage de saints instantanés que la somme de tous ses prédécesseurs depuis le XVIe siècle”. 

C'est pas beau ! !  La béatification douteuse de Mère TERESA est l’étape nécessaire avant la canonisation ; sans béatification, aucune canonisation n’est possible.

Avouez que c'est pas simple ! si vous voulez vous faire canoniser il faut vous y prendre très tôt.

 

 

LE MYTHE SE CRAQUÈLE :

BEF : CACHEZ CE SAINT QUE JE NE SAURAIS VOIR !

 

 

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Outre ces zones de flou associées à la béatification de la religieuse, l’annonce de sa canonisation fait également remonter à la surfaces des éléments assombrissant quelque peu, l’élogieux portrait qui est habituellement fait d’elle.

Christopher HITCHENS titre son article de 2003 “Mère Teresa était une fanatique, une fondamentaliste et une imposture”. Il y répertorie plusieurs points nourrissant les parts d’ombre de la future sainte.

 

Il critique ainsi vivement son côté réactionnaire, qui l’amène à s’opposer à toute forme de réforme : Ce qu’il fallait, insista-t-elle, c’était davantage de travail et d'avantage de foi, pas de révision doctrinale". Une position ultra-réactionnaire et fondamentaliste, même en termes catholiques orthodoxes. Par exemple, sa position très dure sur l’avortement, qu’elle considère comme le plus grand destructeur de la paix, une phrase qu’elle tient lors de la remise de son prix Nobel de la paix en 1979. Une position qu’elle affirme de nouveau en 1994, pendant une conférence de presse qui se tient en marge de la Conférence internationale sur la population au Caire.

Mère TERESA s’oppose alors de nouveau l’avortement, même dans un cas extrême comme le viol, rappelle un article de 1997 de Libération. Christopher HITCHENS ajoute que la religieuse condamne de la même manière le divorce, mais que de manière contradictoire, elle déclarera au LADIES HO JOURNAL "Qu’elle était heureuse du divorce de son amie la princesse Diana, parce que son mariage avait été manifestement malheureux"

 

Un éloge de la souffrance :

BEF : C'EST VRAI QUE ÇA FAIT DU BIEN QUAND ÇA FAIT MAL !

 

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HITCHENS n’est pas le seul à remettre en question le portrait idyllique qui est fait de Mère TERESAUne étude de “sciences religieuses”, datant de 2013, de Serge LARIVÉE, professeur à l’Ecole de psychoéducation de l’université de MONTRÉAL et de ses collègues Carole SÉNÉCHAL et Geneviève CHÉNARD intitulée "Les Côtés ténébreux de Mère Teresa", est présentée.

S’appuyant sur près de 300 ouvrages, ils dénoncent, entre autre, la conception très stricte de la souffrance que promeut la religieuse. Elle peut se résumer en une seule phrase : Il y a quelque chose de très beau à voir les PAUVRES accepter leur sort, à le subir comme la passion du Christ. Le monde gagne beaucoup à leur souffrance” ! ! ! ! !  

 

BEF : C'est vrai que pour les RICHES c'est moins dur !

 

Les trois chercheurs doutent aussi de sa volonté de ne pas s’impliquer en politique, notamment lorsqu’elle reçoit en 1981 la légion d’honneur et une bourse de la part du régime dictatorial des DUVALIER en HaïtiIls se demandent enfin d’où provenait l’argent de sa fondation, dont elle ne se servait pas forcément pour aider les pauvres, et qu’elle en était son utilisation véritable.

Mère TERESA correspond-elle vraiment au portrait négatif de Christopher HITCHENS ? Difficile à dire. Entre les affirmations fondées et les critiques faciles, et parfois douteuses, des parts d’ombre subsistent dans la vie de la future sainte. Une chose est sûre : le mythe de Mère TERESA n’est pas prêt d’être percé à jour, et sa figure se projette bien au-delà du cadre strict de la religion.

 
 
AMEN !
 

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18/03/2016
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