BREVES EN FOLIE : LE SEUL BLOG OU LE FOND PRIME SUR LA FORME

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HISTOIRE D'UNE INJUSTICE (48)

SYNDROME DE L'URTICAIRE

 (48)

 

 

 

 

 

HISTOIRE D'UNE INJUSTICE

 


Les Clients ne sont pas que des numéros !

 

 

Lettre FLEUVE (authentique) d’un Client lettré (contrôleur du travail de son état) et fort mécontent, lettre adressée à la BNPPARIBAS reproduite et saisie intégralement dans la douleur avec deux doigts, à la virgule près par l’auteur de ces mémoires. Ce client s'adressait au gestionnaire de son compte.

                          

                          

 

 

                                                        Monsieur B

   


Eprouvant un malaise grandissant dans les relations nous régissant et n’arrivant pas à vous contacter personnellement, je me permets de vous apporter mon point de vue, ceci afin d’éviter toute polémique et pour dissiper tous malentendus ou équivoques éventuels.


Je dois vous dire sincèrement que je ne suis pas satisfait de l’accueil qui m’est réservé dans votre agence bancaire.

Etant de nature rigoureuse, je suis très sensible au respect des obligations m’incombant. Pour mémoire je vous rappellerai notre dernière entrevue datant de plusieurs mois .


Suite à l’envoi de la lettre m’indiquant le dépassement des 90 jours (durée maximum autorisée pour un découvert), j’avais pris contact avec vous pour solutionner immédiatement ce problème. Vous m’aviez indiqué qu’en raison de la loi SCHRIVENER vous étiez obligé de demander au client de se conformer strictement au respect de ces dispositions. De plus vous m’aviez indiqué qu’on ne me ferait pas d’ennuis, ce qui en d’autres termes, signifiait, du moins j’ai eu l’heur de le penser que l’on me faisait confiance.


M’étant strictement conformé à cette disposition, j’ai été très désagréablement surpris de recevoir une lettre de la société C m’indiquant que mon prélèvement avait été rejeté par la banque et qu’en outre j’aurais à acquitter une pénalité de 14,65 francs. (1) 

J’aurais apprécié n’ayant pas en ce qui me concerne dérogé à ce qui avait été convenu précédemment que vous me préveniez au préalable, ce qui n’a pas été fait et pis, il m’a été facturé au profit de votre banque une somme de 60 francs dont je conteste la réalité eu égard au fait que je n’ai pas pu prendre de dispositions, n’étant pas prévenu afin d’éviter le rejet de ce prélèvement, j’estime donc cette ponction abusive et arbitraire et je vous demande de me recréditer de la somme indûment prélevée.

Dans le cas contraire, vous voudrez bien me préciser d’une manière détaillée le fondement juridique de votre refus. D’autre part, je tiens à souligner que cette conception unilatérale ne se marie pas avec la relation commerciale que vous prétendez invoquer dans les rapports nous régissant.

De plus, de tels faits peuvent induire un doute sur mon honorabilité, mon honnêteté, sur ma rigueur ce qui est profondément dommageable pour moi.

En outre il est très difficile d’admettre les réactions peu amènes dont vous gratifiez le client  au téléphone, en effet j’ai été totalement surpris de me voir promptement redirigé vers un Mr D que je ne connaissais pas et qui s’occupait soi-disant du suivi de mon compte.

Novation d’autant plus surprenante pour moi que vous m’aviez indiqué dans l’entretien précité que vous mettriez « une jeune fille » (2) pour le suivi de mon compte et qui devait me contacter. Bien évidemment rien n’a été fait et c’est à mon initiative que j’ai appris l’existence d’un responsable du suivi de mon compte.

 

Enfin pour terminer, je dois vous rappeler le non fonctionnement duTELESERVICEBNP (3) pour une cause indépendante de ma volonté pendant 2 mois pour lesquels, je vous avais demandé la rétrocession des sommes prélevées, ce qui à ce jour n’a pas été fait.

Mr B,  que doit penser le client que je suis d’un tel comportement. Si l’on a quelque chose à me reprocher, si l’on a quelque chose à me dire que l’on ait la décence de me convoquer pour me l’expliquer ou alors qu’on me l’écrive.


Le client a le droit et le devoir de savoir comment il va être traité, c’est là Mr B ce que j’estime nécessaire dans toute relation commerciale. De plus est-il besoin de le préciser, le respect de la dignité d’un individu impose qu’il soit traité avec courtoisie et politesse et non pas d’une manière cavalière et laxiste s’apparentant au « fait du prince » dont j’ai fait l’objet jusqu’à présent ou alors dois-je envisager que ce comportement inacceptable est délibéré  et qu’il a pour but de faire fuir un client jugé peu rentable.

Quels que puissent être les motifs qui ont présidé à un tel comportement, je ne peux admettre sans réagir que ma dignité et mon honneur soient bafoués et ce pour quelque raison que ce soit.


Les faits précités étant vérifiables et incontournables, car j’affirme et je prétends être de bonne foi dans l’énoncé  des éléments portés à votre connaissance, il me semble normal d’exiger de votre part, une réponse sur votre position par rapport à l’affaire évoquée.

Etant donné le peu d’égard dont on a  fait preuve à mon endroit, jusqu’alors, je me réserve la faculté de saisir votre direction générale de cette affaire  ainsi que les organisations de défense des consommateurs, si une réponse circonstanciée et précise par rapport aux points évoqués ne m’était pas apportée.

Je me tiens à votre disposition pour vous rencontrer si vous en éprouvez le désir. Pour être complet je vous indiquerai que je n’ai jamais eu l’impression d’avoir fait l’objet de libéralités de votre part puisque les services dont j’ai demandé la mise en place ont été payés par moi-même et qu’ils étaient accessibles à tous les clients de la BNP selon la publicité qui m’a été adressée, De plus en contrepartie, depuis fort longtemps, je fais virer mensuellement une somme de 4000 francs dont apparemment il n’a jamais été tenu compte dans nos relations.

 

Enfin j’ai eu égard au traitement anormal et dommageable dont j’ai fait l’objet précédemment, c’est délibérément que je n’ai plus fait virer mon salaire, domiciliation qui n’a légalement aucun caractère obligatoire d’ailleurs. Dans la mesure où j’aurais constaté l’établissement d’un véritable climat de confiance indispensable à mes yeux pour l’établissement serein et durable de toute relation commerciale, j’aurais revu ma position sur l’apport d’une contribution plus positive pour votre établissement.

Malheureusement et ce n’est pas de mon fait, un tel climat n’a jamais pu s’instaurer. Vous comprendrez aisément que je ne puisse confier la gestion de mon PATRIMOINE (4) qu’à un établissement qui m’accorde une certaine confiance et qui fait preuve avec moi de la plus élémentaire courtoisie et correction ce qui n’a pas été le cas jusqu’alors.

 

Dans l’attente de votre réponse je vous prie d’agréer Mr B mes salutations distinguées.

 

(1) un exemple parmi d'autres des célèbres frais

(2) Les banquiers sont peut-être des truands mais pas des proxénètes ! Nous rassurons les lecteurs, il ne s'agissait pas de DSK !

(3) Ancêtre lointain de BNPNET

(4)  Le patrimoine de ce client se résumait à :

- Un compte prêt (crédit à la Consommation) débiteur de 43939 francs.

- Un Crédisponible (Genre de crédit Revolving) débiteur de 14500 francs.

- Un compte de Chèques débiteur de 4223 francs

- Un compte spécial d'épargne créditeur de 279 francs

- un Codevi créditeur de 223 francs.

 

CONCLUSION

 

Apparemment ce  client avait vu son ego sérieusement mis à mal par la désinvolture avec laquelle il avait été traité par la BNP.

S'il avait été plein aux as on lui aurait évidemment épargné  tous ces frais et surtout cette humiliation qu'il avait  semble-t-il, du mal à digérer.


 

SELON QUE VOUS SEREZ PUISSANT OU MISERABLE !

 

 

 

 (A SUIVRE)



05/04/2012
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